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FÊTE DE LA TABASKI: DÉCOUVREZ LES LOOKS ADOPTÉS PAR LES ARTISTES POUR LA CIRCONSTANCE

Certaines femmes de la scène musicale et théâtrale ont adopté un look circonstanciel pour célébrer la fête de la tabaski avec la communauté musulmane.

Elles ont arboré des vêtements, des parures et mis un accent particulier sur le make-up.

www.griote.tvMarcelle Kuetche

Voile, bracelets aux bras,  Marcelle Kuetche dit Poupy est de noir vêtu. La comédienne cheffe d’entreprise et CEO de MC production, a opté pour un style indien. Un point rouge encore appelé « bindi » entre les sourcils. Un point qui autrefois signifiait 3eme œil de la connaissance chez les hindou  mais qui est devenu au fil du temps, un accessoire de beauté.

Elle célèbre et partage la bonne humeur avec la communauté musulmane.  » Bonne fête de la Tabaski », a-t-elle souhaité sur sa page Facebook et dans une vidéo sur Snapchat.

www.griote.tvMimie

De son côté, l’artiste et actrice Mimie, a un look presque semblable. Un Bijou de front, encore appelé « Tikka » ressort le visage resplendissant de la jeune artiste.

www.griote.tvLady Ponce

« Bonne fête de l’Aïd El Kebir à tous mes frères et sœurs musulmans.  Mes frères et sœurs musulmans », écrit Lady ponce.

La star du Bikutsi va aller au-delà de l’aspect festif, inviter la communauté musulmane à prôner l’harmonie, le vivre ensemble pendant cette fête du sacrifice.

« A vous tous chers fidèles d’Allah, du monde entier, merci de contribuer à travers cette fête du sacrifice qu’est la Tabaski, à l’harmonie du vivre ensemble et du partage », implore Lady ponce.

www.griote.tvLydol

De son côté Lydol demande qui l’invite manger du mouton. «Bonne fête de la tabaski à toute la communauté musulmane, a-t-elle ajouté.

La fête de la Tabaski se célèbre ce jour dans le monde entier. Malgré la pluie tombée dans la ville de Douala- Cameroun ce matin, les fidèles musulmans n’ont pas manqué à la prière. Les femmes et les enfants ont également honoré à cette séance d’exhortation.

Après la prière, le mouton ont été sacrifiés en l’absence des femmes.

Rachèle KANOU

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