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CÔTE D’IVOIRE: LA DANSEUSE FILMÉE EN TRAIN DE BALANCER SON POSTÉRIEUR SUR UN AGENT DE LA POLICE INTERPELLÉE PUIS LIBÉRÉE

La nommée Dezi Dokui est accusée d’outrage à agent de police dans l’exercice de ses fonctions.

Vous avez certainement vu cette image indécente d’une danseuse circulée sur les réseaux sociaux. Une scène obscène filmée lors de l’activité sportive dénommé CAM Tchin-Tchinn, organisée par le jeune entrepreneur et star des réseaux sociaux, Jonathan Morisson.

La danseuse Goulediei Dolorès Alias Dezi Dokui a été interpellée puis auditionnée. Et d’après les informations relayées par la presse ivoirienne, elle était devant le procureur ce 27 septembre pour répondre des faits d’«outrage à agent dans l’exercice de ses fonctions et acte impudique».

C’est une scène filmée lors d’une activité sportive dénommée CAM Tchin-Tchinn.  Dans l’ambiance, on voit cette femme aux formes généreuses qui s’exhibe en trémoussant son postérieur de manière spectaculaire sur un agent de la police en plein service. Il était posté au sein de la foule dans l’exercice de ses fonctions.  L’élève sous-officier de police, TAHO Junior  pour les règles qui régissent sa profession, ne s’est à aucun moment, laissé distraire par la danseuse.  Un acte de bravoure félicité par le ministre ivoirien de l’intérieur, de la sécurité et l’institution étatique.

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Malgré la forte corpulence de la danseuse, de son jeu de scène osé, «l’agent de police est resté serein et très lucide en dépit de son jeune âge» qui aurait pu l’entraîner dans l’euphorie. C’est ce professionnalisme qui a été salué ce jour par sa hiérarchie.

Le Directeur Général de la Police nationale, Youssouf Kouyaté, a reçu l’élève sous-officier TAHO Junior, en stage au Groupement Mobile d’Intervention (GMI) de la préfecture de police d’Abidjan ce mardi 27 septembre 2022 à son cabinet.

Dans un communiqué, la police nationale ivoirienne a également invité les acteurs culturels à la retenue et au respect vis-à-vis des forces de l’ordre en exercice. Elle met en garde contre tout acte irrespectueux à l’encontre de l’institution et qui de plus, sont des faits obscènes incitant à la débauche.

Dans une vidéo la danseuse a demandé pardon à l’agent de police, sa hiérarchie et toute la Côte d’Ivoire pour son attitude qu’elle a mise sur le compte de l’euphorie et de l’ambiance. Après sa libération, elle a promis de ne plus poser un tel actes lors de ses prochaines prestations.

Rachèle KANOU

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