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DEUX SUSPECTS AUX ARRÊTS APRES L’ASSASSINAT D’UNE JEUNE FEMME A KEKEM

Tchuinang calvine Leria âgée de 22 ans a été agressée, poignardée à mort et abandonnée non loin du domicile familial.

Les présumés auteurs de ce crime odieux sont deux jeunes hommes visiblement âgés d’une vingtaine d’années. Ils ont été saisis ce jeudi par les éléments de la brigade avec la collaboration des motos-taximen de la ville. Selon nos sources, la police est encore à la recherche d’un troisième suspect.

Partie trop jeune et dans des circonstances tragiques selon ses proches, elle laisse une petite fille de 4 ans dans la détresse et sa famille, ainsi que les jeunes de la ville de Kekem. Depuis sa mort, ils ne cessent de pleurer en implorant les autorités de la localité de rendre justice.

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L’histoire de la mort de cette jeune maman remonte au mardi 26 mai. Son corps sans vie a été retrouvé à quelques encablures du domicile familial aux environs de 22h, au quartier 3 de la ville de kekem, dans la région de l’Ouest Cameroun. Les sources concordantes nous renseignent qu’elle avait reçu un coup de fil quelques minutes plus tôt, avant de partir de la maison. Sur sa dépouille, il est visible qu’elle a été tué à l’aide d’un objet tranchant, laissant de graves blessures sur le long de son bras.

«C’est d’abord trop dur d’entendre la mort d’une camarade de classe mais tellement affreux lorsqu’on entend aux aurores l’assassinat tragique d’une fille aussi calme», se lamente Stève un ancien camarade de classe de la défunte. Comme ce dernier, de nombreuses connaissances de Clavine Leria sont effrayées par cette fin dramatique. Ils disent avoir peur de finir comme cette fille, froidement assassinée. «kekem est devenu quoi ? Elle a fait quoi pour mériter cette mort fatale. Demain ça peut être moi. Pardon nous avons besoin de sécurité », implore une autre jeune fille de la ville.

Les jeunes de la ville de kekem appellent les autorités à veiller sur leur sécurité. Ils déplorent l’absence d’éclairage dans plusieurs quartiers de cette ville, ce qui serait aussi à l’origine de nombreuses agressions.

Rachèle KANOU

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