JULIA SAMANTHA : LA NOUVELLE REINE DE BEAUTÉ CAMEROUNAISE EST ÂGÉE DE 26 ANS

La jeune camerounaise passionnée de l’art cinématographique, de la communication, du dessin et de la mode, vient d’être sacrée miss Cameroun 2022.

Elle a remporté la couronne de la plus belle femme du Cameroun devant 27 autres finalistes, elle remplace à ce poste Audrey Nabila Monkam.

Née le 01 janvier 1995 à Meyo-centre dans le sud Cameroun, Julia Samantha Edima Assoumou fait ses études primaires jusqu’en classe de CM1 dans la ville d’Offenbach (Buchügel) au Canada,  avant de retourner au Cameroun quelques années plus tard et continuer ses études de second cycle.

Après l’obtention de son Baccalauréat en 2015, elle s’inscrit à l’université de Douala et valide avec bravoure sa licence en communication, spécialité communication des organisations. La même année, elle est élue miss Orangina.

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Passionnée du cinéma

Sa rencontre avec l’actrice Elizabeth Cynthia Ngono crée le déclic dans sa vie de cinéaste. En 2018, elle signe avec la maison de production et de promotion audiovisuelle Black Films. Elle apparaît pour la première fois dans le long métrage «FANTASMA» puis dans «TRAUMA» qui remporte en 2019 le prix du meilleur long métrage camerounais au Festival des Écrans noirs.

Elle signe en 2020 son sacre, lorsqu’on la découvre dans la série Madame/Monsieur du producteur Ebenezer Kepombia. La série est un ensemble d’épisodes d’amour, jalousie, discorde qui rythment le quotidien de quatre foyers de classes sociales différentes et qui présentent des couples qui ne perçoivent pas le monde de la même façon, où l’homme et la femme n’ont pas les mêmes sensibilités face aux faits de la société, pourtant unis par l’amour.

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Projet

Ce 7 janvier 2020, sa beauté, sa prestance et son intelligence l’ont hissée au sommet de la spendeur et la finesse. Un rêve qu’elle nourrissait depuis toute petite.

Sacrée miss Cameroun 2022, Julia Samantha Edima Assoumou remplace Audrey Nabila Monkam et promet de créer un centre psychiatrique pour venir en aide aux personnes victimes de troubles mentaux. Il s’agira d’un défi pour elle, car née d’une famille ou la dépression est innée dit-elle, il sera question de sauver des vies et rassurer les personnes victimes de ces maux.

Rachèle KANOU

 

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1 Comment

  1. Pourquoi vous occultez son joli nom de famille Edima Assoumou !? Vous préferez les noms des blancs ! A quand la décolonisation patronymique !!!??? C’est une honte de vouloir toujours être blanc jusqu’à renier son propre nom ! Très décevant !

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