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LES PREMIÈRES VICTIMES DES VIOLENCES CONJUGALES SONT LES BELLES FEMMES

Même si la notion de beauté est relative, le constat établi par cette jeune juriste provient de son expérience personnelle.

Selon cette jeune femme, la beauté physique attire les bourreaux. «La majorité des victimes sont de belles femmes, voire de très belles femmes, physiquement.  Ne me dites surtout pas que la beauté, surtout celle de la femme est relative, parce que  toutes ne font pas tourner les têtes à leur passage.».

A son avis, les belles femmes n’ont «pas toujours la chance d’être avec le partenaire de leur rêve. La plupart du temps, elles se contentent du courageux qui a eu l’audace de les aborder et leur arracher un sourire.».

Ces femmes se retrouvent donc dans un cercle vicieux  «dont très peu en sortent vivantes.», dit-elle.

Au sujet des compagnons ou conjoints auteurs de violences conjugales sur ces «belles femmes», «ce sont généralement des laiderons, quand la nature ne les as pas frappés d’un handicap qui n’est pas toujours physique.

Eh oui, les hommes que la nature n’a pas trop gâtés, soit d’un physique de rêve, d’une intelligence particulière ou d’une aisance financière, développent d’autres aptitudes, pour trouver grâce aux yeux d’une belle femme.», argumente notre juriste.

Leur manque d’atout physique entraine une façon d’agir. «Ils sont alors généralement de très bons parleurs, toujours disponibles,  bref irréprochables dans les débuts, au point où on oublie qu’ils sont laids, fauchés ou pas autant instruits que leurs conquêtes.».

Mais leur véritable visage ne reste jamais caché. «Une fois leur but atteint, la belle femme amoureuse devient la propriété exclusive de ce partenaire vil qui ne veut surtout la partager avec personne. Entre le sentiment d’insécurité, le complexe d’infériorité, la frustration s’installe et sa meilleure expression est la violence.».

Des éléments qu’il faut savoir détecter dès la première rencontre. «Il se dit que la violence n’a pas de visage ? Mais il y a des signes qui ne trompent pas, car dans chaque comportement de notre partenaire, il y a toujours un message qu’il faut savoir interpréter.».

Cette opinion battue en brèche par plusieurs, arrive à la suite du décès de Laura Danièlle Mvondo aux Etats-Unis. Les amies de la défunte accusent son époux de féminicide, toute chose que démentent  les proches  d’Aimé Césaire Atchom.

Chantal Mveng

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