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MANQUE DE FINESSE DE TAYC À L’ÉGARD DE MARIE GABRIELLE MFEGUE : SOUTIEN DE LA PRESSE À LA JOURNALISTE

La journaliste culturelle a reçu le soutien inconditionnel de plusieurs confrères.

«Je connais la passion avec laquelle tu travailles chère petite sœur et personne ne saurait insulter cela», a déclaré Clarence Yongo récemment directrice de la candidate à la Présidentielle Yeli Monique Kam du Burkina Faso.

« Fier de toi Marie Gabrielle Mfegue Prends tes cœurs » a commenté Patrick Ermano, l’un de ceux qui ont écrit les belles lettres du journalisme culturel au Cameroun.

Dans la publication d’un jeune confrère qui se vantait d’avoir posé avec l’artiste Tayc, Achille Assako n’a pas été tendre. «Le mec qui manque de finesse envers les femmes et surtout le respect aux journalistes culturels camerounais ? Pfff», a écrit le Directeur de l’innovation et du cross media chez ABK radio.

Le réseau des journalistes culturels a apporté son soutien à Marie Gabrielle, la décrivant comme «pro, dynamique, passionnée. Une seule ambition : poser la culture au firmament», a publié l’association sur sa page ce matin.

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Pour rappel, la journaliste Marie Gabrielle Mfegue en service à la CRTV littoral a eu un échange tendu avec Tayc artiste français d’origine camerounaise hier lors d’une conférence de presse.

Elle dit avoir posé deux questions à l’artiste dont le concert est programmé ce 29 décembre à Douala. «La première sur sa collaboration avec le saxophoniste de Manu Dibango, la seconde  pour savoir s’il y’a une possibilité qu’il fasse dans ses prochains vidéogrammes un 100% Culture de chez lui, avec une tenue traditionnelle   » le Ndop  » tenue prestigieuse à l’ouest Cameroun».

Répondant à cette deuxième question, «de manière très pédante le  » chanteur  » estime que les autres en France peuvent y voir une futilité et ne vont pas comprendre Et que ce n’est pas une tenue qui l’a emmené à ce niveau. Jusque-là ça passe.», dit Marie Gabrielle.

Et de façon grossière, il se met à appeler la journaliste « » madame Ndop » à plusieurs reprises et utilise d’autres adjectifs inappropriés et certains confrères rigolent.».

Ce qui a offensé la journaliste culturelle, ce matin défendue par la corporation.

Chantal Mveng

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