La situation de la jeune fille fait débat et ce n’est pas pour ravir des services sociaux.
L’adolescente veut garder l’enfant, elle est soutenue dans sa démarche par sa famille ainsi que celle du père supposé. Car pour le moment, des doutes planent encore sur l’identité réelle de l’auteur de la grossesse. La jeune fille est présentée comme «un enfant difficile», porté vers un «petit hooliganisme» et le pédiatre qui suit l’affaire préfère se réserver d’affirmer que le garçon de 10 ans est à l’origine de la grossesse.
Pourtant, selon la presse Russe, les deux adolescents fréquentent des écoles différentes mais se connaissent et sont ensemble depuis qu’ils sont plus jeunes.
Cependant, la future maman a eu des relations sexuelles avec plusieurs autres garçons avant de tomber enceinte. Il est donc question de faire un test d’ADN pour confirmer l’identité du géniteur.
Aujourd’hui, la question cruciale est celle de savoir comment l’adolescente pourra s’occuper de ce bébé, sachant que sa mère à elle souffre d’un cancer en phase terminale et pourrait décéder d’ici peu, laissant derrière elle, un petit-enfant ainsi que deux autres de ses fils âgés de 3 et 5 ans.
Pour l’instant, l’adolescente enceinte de sept semaines, ne veut pas se poser des questions, tout ce qu’elle désire c’est garder sa grossesse jusqu’à terme.
Un cas presque similaire avait été enregistré en Grande Bretagne en 2009, un garçon de 12 ans avait mis enceinte une adolescente de 15 ans. Ce qui avait créé un large débat autour de la morale et l’éthique chez les jeunes britanniques.
Chantal Mveng
