La disparition accrue des enfants dans les ménages s’intensifie, dans le sud-ouest, 03 enfants perdent la vie après avoir consommé un repas douteux le 29 septembre 2024.
Les repas ont rejoint le clan des armes destructrices de la personne humaine, il suffit d’une pincée de substance inconnue pour que la détresse et les pleurs fusent. Comme à Dimako il y a un mois, à Bafang un peu plus d’un mois, des enfants subissent un séjour terrestre écourté malgré eux. A Molyko dans le Su-Ouest, des questions autour du départ incomprehensible de trois enfants continuent d’alimenter les conversations.
La raison du décès tragique de ces enfants âgés de 2, 3 et 5 ans reste ambiguë, car les médecins de l’hôpital déclarent que le contenu du repas avait une substance chimique. Le frère aîné qui a cuisiné du spaghetti déclare que tout allait bien au petit matin du dimanche. Sortis pour le culte à la mission pleine évangile de Molyko, c’est au moment du sermon du pasteur que le père se rend compte que les deux enfants qui suivent l’aîné présentent des symptômes d’étouffement. Tout de suite il les ramène à la maison et constate que la plus petite agit pareillement, direction l’hôpital, le médecin leur revient navré, annonçant la mort des 03 enfants. Lorsqu’ils manifestaient ces signes inhabituels le père a demandé qu’on apporte de l’huile rouge mais cela n’a pas pu attenuer la situation. Ils sont gardés à la morgue de l’hôpital régional de Buéa.
Serait-ce une intoxication alimentaire? Serait-ce un empoisonnement ? Repensant tout de suite aux 06 personnes décédées au village Ngolambélé situé dans l’arrondissement de Dimako, le 26 août dernier après la consommation d’un coucous qui avait été mélangé à un pesticide destiné à améliorer les semences, la douleur est plus grande. Le moulin où il avait été écrasé a été fermé afin de limiter les dégâts dans le canton.
A Zili dans un village du centre Cameroun le 24 juillet 2024, une famille a vu ses 03 enfants agoniser après avoir mangé du couscous de maïs fait par l’ainée âgée de 07 ans. Selon les fouilles, l’on se rend compte qu’elle avait augmenté la quantité du repas avec des fongicides qu’elle croyait être du maïs, ceci en l’absence de sa mère absorbée par les travaux champêtres. Ses deux cadets et elle sont passés de vie à trépas après ce malheureux incident. Deux autres personnes de sexe féminin s’étant plaint du mal de ventre ont tout de suite été mises sous soins.
La semaine précédente , un évènement similaire s’est produit à Batchingou, dans la région de l’Ouest. Deux enfants en vacances chez leur grand-mère ont perdu la vie après avoir mangé des beignets bananes. La disparition de ces 08 enfants en lien avec des repas intoxiqués ou empoisonnés met en mal les familles, qui sont appelées à plus de vigilance.
Ces cas d’empoisonnement devraient faire objet de réflexion afin de dénicher les causes réelles de ces incidents pour stopper les actions ravageuses des repas toxiques.
Christagit Womsiepon (Stagiaire)
Merci pour ces informations, en réalité il faudrait trouver ces causes et aussi ceci devrait alerter les parents à plus de responsabilités
Où va le monde Seigneur?
La négligence , normalement les produits de ce genre de ne devrait même pas être à la vue des enfants , les parents doivent éviter également de confier la cuisine à des enfants qui ne savent pas distingués ,un ingrédient d’un autres .
Évitons la négligence
C’est pas possible ????
Oh! Quelle tragédie!
Seigneur viens en aide à ces parents
Quelle tragédie, que de pleure ???? dans le Sud-Ouest..
Que de triste nouvelle au Cameroun.
Seigneur intervi
Quelle tragédie, que de pleure ???? dans le Sud-Ouest..
Que de triste nouvelle au Cameroun.
Seigneur intervi