La camerounaise aurait été étranglée et laissée nue dans un appartement le mardi le 1er octobre aux environs de 23h, lieu qui servirait à des activités de prostitution.
C’est à Aubervilliers, précisément à Seine-Saint-Denis que Becky, 40 ans aurait été retrouvée nue, avec des marques de strangulation et coups donnés à la tête, elle aurait été violentée. Hypothèses qui jusqu’ici sont non confirmées, car aucun témoin n’a été trouvé sur le lieu du crime. Or, plus tôt en après midi, une voisine a alerté la police à l’écoute des cris d’une femme en détresse. Curieusement les forces de l’ordre auraient déclaré n’avoir trouvé aucune victime sur le lieu indiqué.
Le Parisien renseigne qu’une connaissance de la défunte a prévenu les secours par la suite, se rendant compte qu’elle reste injoignable malgré ses tentatives d’appels multiples. Ainsi a été effectuée la découverte macabre.
L’enquête sur les circonstances de ce meurtre a été confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire parisienne et la maire de la ville se dit choquée.
«Profondément horrifiée par le crime qui s’est produit dans notre ville. Une femme a perdu la vie. Cet événement nous touche tous et soulève de nombreuses questions. J’exprime tout mon soutien à la famille et aux proches de la victime dans cette épreuve.»,
a réagi sur Twitter Karine Franclet (UDI), la maire d’Aubervilliers.
En attendant, les résultats de l’enquête, les proches de la défunte regrettent son départ aussi brusque que violent.
Christagit Womsiepon (Stagiaire)